So ... journal de bord d'une soumise
J'avais baptisé ce texte "Notre rencontre" mais mon Maître m'a demandé de l'appeler "Un instant de folie", cet instant ou, au
téléphone, quand il m'a demandé de venir, j'ai répondu "oui" sur un coup de tête, cet instant ou est devenue possible une rencontre qui n'aurait jamais du avoir
lieu...
Ce jour là, je rentrai chez moi totalement
démoralisée après 2 jours d'épreuves d'un concours auquel j'étais certaine d'obtenir une note éliminatoire. Après 2 nuits d'insomnie à cause du stress, 13h d'épreuves et plus de 4h de
transports, j'étais dans un état terrible et allumai l'ordi machinalement avant de m'affaler dans le canapé. Je fus tirée de ma torpeur par un wizz sur msn. C'était V. (V était à
l'époque un homme avec lequel j'avais une relation de domination virtuelle. Nous nous étions connus sur un site libertin, nous nous parlions sur msn et par téléphone depuis des mois
mais nous ne nous étions jamais rencontrés. Nous avions néanmoins une vraie complicité.) Il me demanda si j'étais prête à lui obéir, je répondis que oui. Il me dit alors d'ajouter une
adresse à mes contacts msn, de contacter cette personne et de lui dire que j'étais à sa disposition pour ce qu'il voudrait faire de moi, ce que je fis. Je me retrouvai en ligne avec un homme
avec lequel, après lui avoir dit que j'étais à sa disposition sur ordre de V, j'échangeai quelques banalités. Cet homme me demanda quand j'étais disponible pour le rencontrer.
Puis, sans me laisser le temps de répondre, ajouta :"ce soir". Je répondis que j'étais épuisée et qu'en plus ma voiture était en panne. Il me dit alors de prendre un taxi qu'il me
rembourserait et j'acceptai.
Cet homme, c'était Toi !
Dans le taxi, les idées bouillonnaient dans ma tête. Je n'avais jamais rien fait d'aussi dingue !!!! Je me rendais tard le soir, seule, chez un inconnu, car, même si V était ton ami, même si je
savais qu'il ne me mettrait pas en danger, je ne savais rien de toi !!! Je suis arrivée chez toi vers minuit. 10 fois, en gravissant les escaliers, j'ai failli faire demi-tour, et puis
j'ai fini par frapper à ta porte. J'étais totalement angoissée mais je n'en n'ai rien laissé paraître.
Tu m'a offert un verre (j'en avais grand besoin !!!) puis nous nous sommes installés côte à côte sur le canapé et avons commencé à discuter. De tout, de rien. De nos vies,
de libertinage, de sentiments, de boulot .... Au bout d'une heure, nous avions totalement perdu de vue qu'il s'agissait de notre première rencontre. Le courant passait tellement
bien entre nous, nous avions la même vision des choses, nous étions totalement en phase. J'ai commencé à me détendre, à me laisser aller, je me sentais bien, en confiance, dans un moment ou le
temps était suspendu et n'avais aucune envie qu'il reprenne son cours ... je t'ai même tutoyé ....
A ce moment là, tu as repris les choses en main et tu es allé chercher un collier dans ta chambre, disant que V t'avait demandé de me punir et
que là commençait la séance de dressage. Le collier me faisait un peu mal mais je l'ai accepté, me rappelant que je m'étais engagée auprès de V à te satisfaire et à accéder à toutes tes
demandes.
Tu m'as alors dit de me lever pour me faire visiter l'appartement.
Dans ta chambre, tu m'a ordonné de rester debout, les jambes écartées, les mains dans le dos, tandis que tu préparais les ustensiles nécessaires à mon dressage.
J'étais vétue d'une jupe qui arrive juste au dessus des genoux, de bas, sans culotte (consigne de V), et un chemisier et soutien-gorge en haut.
Tu as sorti le martinet et le paddle, puis tu m'as ordonné de me déshabiller. Je n'étais pas très à l'aise, j'avais le regard fuyant et tu m'a forcé à te regarder dans les
yeux.
Tu t'es approché de moi et a commencé à me pincer les seins de plus en plus fermement. Ensuite, tu as passé ta main entre mes cuisses pour sentir mon exitation. Tu m'as caressé,
promenant tes mains sur moi, me mordant la nuque et les épaules.
Tu m'a alors ordonné d'écarter les jambes et de me pencher sur un tabouret de bar que tu avais apporté dans la chambre. Et tu as commencé à me fesser, d'abord doucement puis
de plus en plus rapidement et fortement jusqu'à ce que j'aie des mouvements de recul face à l'intensité de la douleur. Tu as ensuite utilisé le paddle sur mes fesses, mes reins, le
haut de mes cuisses. Tu ne tapais pas trop fort et ça faisait en fait moins mal que les fessées. Ensuite, tu as continué au martinet, mais assez soft. Tout d'abord sur mon dos,
longuement, puis sur mes épaules, assez énergiquement. Tu l'as ensuite utilisé entre mes cuisses, là, c'est vraiment très douloureux ! Puis sur mon sexe, plus doucement.
Entre les coups, tu venais me caresser entre les jambes, glissant un doigt pour vérifier à quel point j'étais mouillée. Et je l'étais ... Tu me répétais que j'étais bonne à être baisée
mais que ça n'était pas pour tout de suite. Tu a continué à me fouiller et à stimuler ma circulation sanguine un bon moment.
Puis tu m'as mis un oeuf vibrant dans le vagin et as continué à me travailler les seins avant d'y poser des pinces ... doux équilibre entre plaisir et douleur.
Ensuite, tu m'as godé énergiquement le vagin puis m'a demandé de m'asseoir sur le gode que tu avais positionné sur le tabouret et m'a caressé longuement en même temps. J'étais partagée entre
plaisir et douleur, désir et honte. Tu me regardais droit dans les yeux et me forçais à soutenir ton regard. J'aurais voulu disparaitre sous terre. A chaque fois que tu retournais vers ton
"sac à malices", je t'observais, inquiète, je te suivais des yeux, me demandant ce que tu allais me faire. Tu en as eu assez, t'es faché et m'as bandé les yeux, puis tu m'as
ordonné de me lever. Tu t'es déshabillé, t'es assis sur le tabouret et a guidé ma tête jusqu'à ton sexe dressé. Je t'ai sucé avec application, tu forçais sur ma tête, afin de le faire entrer
jusque dans ma gorge. Je n'y arrivais pas à cause du collier trop serré, tu m'a alors autorisé à l'enlever.
Tu m'as dit de m'allonger sur le lit, sur le dos, les jambes écartées et as commencé à me lécher. Puis tu as mis un préservatif et m'a baisée jusqu'à ce que nous laissions tous les deux
notre plaisir exploser, dans un accord parfait.
Nous sommes alors retournés dans le séjour et avons repris notre discussion en fumant et buvant un nouveau verre. Ca a été un moment d'une tendresse extaordinaire, contrastant avec la
vulgarité, la dureté de ce qu'il s'était passé dans la chambre. Caresses, bisous, regards langoureux, j'étais sur un petit nuage. J'avais l'impression de te connaitre depuis toujours. Chaque mot
que tu disais trouvait écho au plus profond de moi, ta vision du couple, de l'amour, de la fidélité, du libertinage correspondait en tout point à la mienne, ton besoin de liberté me renvoyait
exactement au mien. Je me suis surprise à me dire "et si c'était celui que j'attendais depuis si longtemps ?" Celui dont on rêve en pensant qu'il n'exite pas, que ça n'est pas possible, que ça
serait trop beau ! Puis je me raisonnais. "Mais non, il est marié, il a une soumise, il n'a que faire de moi !!!! Demain, il aura tout oublié et moi je garderai juste le souvenir d'une
soirée exceptionnelle gravée dans mon coeur". Tout-à-coup, alors que j'étais perdue dans mes pensées, tu t'es penché vers moi et tu m'as dit à l'oreille, tout doucement : "j'ai envie de
te faire l'amour" . A ce moment précis, tu as ouvert une brèche dans mon coeur et j'ai su que quelque chose d'inhabituel et de précieux s'était passé entre nous et que ça ne serait pas une
rencontre sans lendemain ...
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
Merci
Mais sachez que je félicite bien plus que votre empathie ... je vous suis (nous vous sommes) chaque jour reconnaissante de cette jolie rencontre que vous avez provoquée et vous êtes souvent au centre de nos pensées et de nos discussions.
Tendres baisers
So